La datation des structures de cuisson: intégration de l’archéomagnétisme et du radiocarbone, apports de l’anthracologie - INSU - Institut national des sciences de l'Univers Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Archéologie médiévale Année : 2014

La datation des structures de cuisson: intégration de l’archéomagnétisme et du radiocarbone, apports de l’anthracologie

Résumé

La datation constitue l’une des problématiques majeures de l’archéologie. Le développement récent des méthodes statistiques de combinaison des informations chronologiques a ouvert de nouvelles perspectives à ce propos. Grâce en particulier à l’approche statistique bayésienne, les résultats des datations par le radiocarbone et par l’archéomagnétisme peuvent être combinés avec la typochronologie des artefacts et avec la stratigraphie. L’objectif est de déterminer précisément l’instant de la dernière chauffe d’une structure artisanale de cuisson. Pour juger du synchronisme de la mort du bois, daté par le radiocarbone, avec la dernière chauffe, datée par archéomagnétisme, le recours à des analyses complémentaires comme l’anthracologie apparaît essentiel. La mise en œuvre et le potentiel de cette approche intégrée sont exposés au travers de quatre exemples médiévaux (fours de potier, de tuilier et de chaufourniers).

Dates et versions

insu-01130234 , version 1 (11-03-2015)

Identifiants

Citer

Christophe Vaschalde, Gwenaël Hervé, Philippe Lanos, Jacques Thiriot, Lucie Garnier, et al.. La datation des structures de cuisson: intégration de l’archéomagnétisme et du radiocarbone, apports de l’anthracologie. Archéologie médiévale, 2014, 44, pp.155-170. ⟨10.4000/archeomed.8196⟩. ⟨insu-01130234⟩
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